La marche de l'empereur
Vu le 26/01/2005 au Bretagne dans la grande salle
Conditions : correctes ma foi. A l'entrée on nous annonce que c'est la plus grande salle de Montparnasse et c'est vraiment une grande salle. Nous avons repéré de bonnes places, déjà occupées mais prometteuses pour une prochaine fois car présage de conditions parfaites. Nous sommes assez bien placés mais hélas une odeur nauséabonde et changeante nuit à notre confort.
La Marche De L'empereur est une expérience, une immersion totale dans une lutte acharnée pour la survie d'une espèce.
Il s'agit donc d'un film animalier sur les manchots de l'Antarctique. Documentaire ou fiction? Tout ceci n'ai surement pas inventé ou même mis en situation (la mise en situation, c'est la mise en scène du pauvre genre faire un reportage sur un mec et le filmer en train d'aller au travail).
L'histoire est belle mais implacable et parfois cruelle. Et surtout, cette passionnante lutte pour la vie est très pédagogique. Le cycle de vie des manchots, fait de sacrifices, de longues marches, d'attentes inquiètes, d'amour est racontée avec précision. Après coup, on a tout retenu de la "leçon" de Luc Jacquet.
Pour raconter son histoire, Luc Jacquet choisit une narration plutôt casse gueule à trois voix (deux parents plus l'enfant) entre poésie à deux euros et explications indispensables. Mais globalement ça fonctionne.
Outre l'histoire, la réussite de La Marche De L'Empereur tient dans son montage des milliers d'images que son équipe et lui-même ont du se faire chier à filmer. Très précis, il permet l'installation d'un suspense plus qu'acceptable vu qu'on prend peur pour ces "héros" affrontant une quantité incroyables de dangers (faim, froid, prédateur, protection et échange de l'oeuf... le passage de l'oeuf de la mère au père est impitoyable).
Et bien entendu, les images sont sublimes nous faisant presque oublier que ce milieu est très hostile ce que Luc Jacquet n'oublie pas de nous rappeler de temps en temps de manière impitoyable. Une belle réussite.
La scène qui tue : l'épisode tragique, parfaitement monté, du léopard de mer fait froid dans le dos
Revoir le film : sûrement, ma petite amie a adoré. Elle veut un manchot. C'est malin.
Conditions : correctes ma foi. A l'entrée on nous annonce que c'est la plus grande salle de Montparnasse et c'est vraiment une grande salle. Nous avons repéré de bonnes places, déjà occupées mais prometteuses pour une prochaine fois car présage de conditions parfaites. Nous sommes assez bien placés mais hélas une odeur nauséabonde et changeante nuit à notre confort.
La Marche De L'empereur est une expérience, une immersion totale dans une lutte acharnée pour la survie d'une espèce.
Il s'agit donc d'un film animalier sur les manchots de l'Antarctique. Documentaire ou fiction? Tout ceci n'ai surement pas inventé ou même mis en situation (la mise en situation, c'est la mise en scène du pauvre genre faire un reportage sur un mec et le filmer en train d'aller au travail).
L'histoire est belle mais implacable et parfois cruelle. Et surtout, cette passionnante lutte pour la vie est très pédagogique. Le cycle de vie des manchots, fait de sacrifices, de longues marches, d'attentes inquiètes, d'amour est racontée avec précision. Après coup, on a tout retenu de la "leçon" de Luc Jacquet.
Pour raconter son histoire, Luc Jacquet choisit une narration plutôt casse gueule à trois voix (deux parents plus l'enfant) entre poésie à deux euros et explications indispensables. Mais globalement ça fonctionne.
Outre l'histoire, la réussite de La Marche De L'Empereur tient dans son montage des milliers d'images que son équipe et lui-même ont du se faire chier à filmer. Très précis, il permet l'installation d'un suspense plus qu'acceptable vu qu'on prend peur pour ces "héros" affrontant une quantité incroyables de dangers (faim, froid, prédateur, protection et échange de l'oeuf... le passage de l'oeuf de la mère au père est impitoyable).
Et bien entendu, les images sont sublimes nous faisant presque oublier que ce milieu est très hostile ce que Luc Jacquet n'oublie pas de nous rappeler de temps en temps de manière impitoyable. Une belle réussite.
La scène qui tue : l'épisode tragique, parfaitement monté, du léopard de mer fait froid dans le dos
Revoir le film : sûrement, ma petite amie a adoré. Elle veut un manchot. C'est malin.
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on Saturday, February 05, 2005 at 6:14 AM.
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